C’est un titre d’article que j’affectionne tout particulièrement…
Il est vrai qu’une injonction du genre « deviens la meilleure version de toi même » pullule dans le développement personnel et cela peut parfois conduire à une certaine violence que l’on se fait à soi-même…
Témoignage… de Blandine avec une bonne dose d’humour… 😉
 Depuis quelques mois, il y a une expression qui me sort par les yeux dans le monde magnifique et fleuri du développement personnel : « Devenez la meilleure version de vous-même ».

C’est répété sur tous les tons par une foule de personnes (bien intentionnées… ou pas) qui espèrent qu’il y en a un qui va marcher… pour elle-même… pour toi…(tiens, je sens que commence déjà à me faire des amis^^)

« Je veux devenir la meilleure version de moi-même » s’est transformé en incantation magique. On espère que si on la prononce bien, avec l’air concerné, le bon ton et la bonne position d’humilité déterminée (!) Dieu, la Terre-Mère, la Vie, l’Univers, le Secret ou Madame Soleil va enfin comprendre notre demande et nous récompenser en nous envoyant ce que nous avons demandé : une version de nous « évoluée », « consciente », « 3.0 ».

Bref, qu’on va recevoir notre cadeau, comme les enfants sages et travailleuses que nous sommes. (1)

Pour faire simple : nous libérer de ce médiocre humain que nous sommes aujourd’hui !

***Au passage, je précise que je n’accuse personne. Je pointe juste une incohérence que je perçois dans le monde du développement personnel aujourd’hui.***

Sous l’apparence d’une libération, encore un diktat…

Ce qui m’emmerde profondément c’est que l’air de rien, cela nous fait encore nous soumettre un peu plus aux diktats de la société d’aujourd’hui (sous prétexte de nous en libérer, comme d’habitude).

Société qui nous fait croire qu’il faut se dépasser encore plus, que l’on n’est pas « assez » telle que l’on est aujourd’hui.

Autrement dit, on est encore dans l’AVOIR/le FAIRE (« il faut », « je dois », « je veux ») au lieu de se placer dans l’ÊTRE, ici et maintenant (« Qu’est-ce que je ressens ? », « Est-ce que ce que je fais à un sens pour moi ? »).

On veut nous faire croire que l’avenir est aux humains de plus en plus performants dans toutes les sphères de leur vie : travail, famille, perso(ça fait bien, n’est-ce pas ?).

Ça nous fait acheter des magazines féminins, du maquillage, des aliments bons pour la santé, du matériel de sport ou des formations/stages/coaching en développement personnel !

Bref, ça fait marcher le système capitaliste et la planche à billets… (je viens de me faire un autre groupe d’amis^^)

 Tout est parfait MAIS…

(cherchez l’erreur)

D’ailleurs, le message qui nous est passé est contradictoire : « Tout est parfait » MAIS fais un effort pour « devenir la meilleure version de toi-même » (le MAIS mettant directement tout ce qui vient d’être dit juste avant à la poubelle).

Ce qui pourrait s’apparenter à : tu es à l’image de Dieu MAIS que tu as à travailler pour te purifier, éliminer tes péchés, encore et encore… (y a pas comme un problème dans l’énoncé ?)

Et aujourd’hui je trouve que le développement personnel est un peu devenu la nouvelle religion, ayant déserté les églises/temples, les gens sont à la recherche de spiritualité/connexion à eux-mêmes.

La nouvelle prière pourrait être :

« Notre Père/Univers/Mère-Terre/Vie…

(choisis ton préféré)

Qui êtes aux cieux

(parce que je n’ai aucune conscience que le divin est déjà en moi)

Ne me soumettez pas aux tentations

(toujours trop nombreuses et sournoises – les garces !)

Et délivrez-moi de l’humain médiocre que je suis

(ça fait trop longtemps qu’il m’empêche d’être la personne dont mon égo rêve secrètement)

Amen

(dépêche-toi stp !) « 

 Qui dit « meilleure »… dit mirage

Là où je vois un problème, c’est que je ressens qu’on utilise « meilleure » avec un jugement de valeur : « meilleure » est l’opposé de « moins bon », avec une idée bien/mal associée, alors que ça n’a rien à voir.

Donc si on veut devenir la meilleure version de nous-même, c’est que celle d’aujourd’hui est moins bonne (dans le meilleur des cas), voire médiocre ou nulle (notre estime personnelle permet alors de tondre les pâquerettes ou d’aller dire bonjour aux taupes – hello you !).

Et c’est là que l’amour inconditionnel a du plomb dans l’aile… (tout comme la colombe de la paix intérieure).

Sous prétexte de nous offrir de l’espoir, c’est plutôt une course sans fin dans laquelle elle nous embarque. Un cercle vicieux du « toujours plus ». Un mirage après lequel on court.

Une fuite en avant pour éviter la douleur…

Le discours sous-entend aussi que tout ira mieux quand on sera rendu à être « la meilleure version de nous-mêmes ».

Eh bien NON, cette soi-disant « meilleure version  » ne nous mettra pas à l’abri des tracas, des émotions désagréables (bien essayé, mais non…). Ce sera juste différent, même si la paix intérieure que l’on ressentira sera globalement plus durable.

Chaque version « plus évoluée » va faire apparaître des « problèmes » dont on n’avait pas conscience avant. Donc il y aura toujours des « problèmes à régler ».

Ces fameux « problèmes », moi j’appelle ça des éléments « opportunités de grandir » c’est-à-dire des choses dont on peut se libérer parce qu’elles ne nous appartiennent pas vraiment (croyances, histoire transgénérationnelle, normes)… tout est une question de perspective ! (il est à moitié plein ou à moitié vide ton verre de rosé-pamplemousse ?)

 Et si tu faisais le deuil de la personne parfaite que tu voudrais être ?

Une question me paraît fondamentale :

Si je n’accepte pas l’humain que je suis aujourd’hui, pourquoi est-ce que j’accepterais plus celui que je serais demain, alors qu’il y aura encore et toujours des choses à « améliorer »  ?

Cela demande de faire un deuil (je sais, j’ai utilisé un gros mot !) (la marche funèbre de Chopin, c’est ICI)

Tiens, je prends un exemple personnel. Tu vas voir, il se peut que ça te paraisse familier :

  1. Déni (Non, je ne suis/veux pas (être) manipulatrice)
  2. Culpabilité (C’est mal d’être une manipulatrice, seules les mauvaises personnes font ça)
  3. Colère (Ce n’est pas juste que la situation me force à faire ça !)
  4. Marchandage (En fait, je suis manipulatrice juste quand…)
  5. Peur (Et si en fait j’étais vraiment une manipulatrice ? Qu’est-ce que mes amis/ma famille/mon conjoint penseraient de moi ?)
  6. Tristesse / Résignation (Et si j’étais comme ça finalement ?)
  7. ACCEPTATION (Ok, j’ai un côté manipulateur, je l’admets) = étape charnière
  8. Réorganisation (Qu’est-ce que je peux faire pour que ce côté aie moins à s’exprimer ?)
  9. Apaisement / Sérénité (Dès que je vois mon côté manipulateur qui veut s’exprimer, je sais comment faire pour agir autrement parce que je reconnais le besoin qui cherche à s’exprimer)

C’est donc parce que j’accepte pleinement qui je suis que je peux passer à autre chose, que les choses vont changer.

C’est seulement si je fais le deuil de la personne parfaite que je voudrais être, que je peux libérer la magnifique personne qui est déjà présente au fond de moi.

 Attention ! Je te vois venir… petite maline que tu es !

Primo : N’essaie pas d’accepter dans le but de changer, sinon tu triches et ça ne marche pas. Tu pourras peut-être tromper les autres autour de toi, mais tu ne pourras pas te tromper toi-même.

Ce que tu as à faire, c’est accepter… pour accepter. Point. Sinon tu es encore dans l’étape du marchandage (étape 4).

Ce qui veut dire t’aimer dans ce côté de toi qui est considéré généralement comme « pas aimable », honteux… ça, ça demande de l’amour inconditionnel.

T’aimer, juste parce que TU ES. Tu vois le genre ?

Peut-être que tu ne l’as pas reçu quand tu étais enfant, parce que tes parents ont fait ce qu’ils ont pu avec leurs propres défis personnels et ils n’ont pas su te le donner. Mais aujourd’hui, en tant qu’adulte tu peux te le donner cet amour inconditionnel. C’est ton choix maintenant.

Si tu veux de bons modèles, regarde comment agissent les jeunes enfants. C’est pas forcément facile au début, mais c’est un peu comme un muscle : ça devient plus facile avec l’entraînement, même si c’est un peu dur au début. C’est profondément libérateur.

Deuxio : « acceptation », ça ne veut pas dire « complaisance ».

Tu reconnais que tu es comme ça (de toute façon, à quoi ça sert de prétendre le contraire puisque C’EST LA ???), mais tu ne fais pas comme si ça ne (te) posait aucun problème. Sinon tu es dans le déni (étape 1).

Tu prends la RESPONSABILITÉ de son existence (mais pas la culpabilité), et tu sais que ça devra changer… ou pas ! 

Pour faire simple : accepter, c’est reconnaître l’existence de ce qui est là (parce que c’est LA de toute façon, que l’on se voile la face ou non !), sans chercher à vouloir le transformer.

Et s’aimer dans ce qu’on voit, même si ça n’a pas l’air très beau.

Tiens, je te fais une ordonnance : va te regarder dans la glace, et dis-toi « Je t’aime ».

Et si c’est compliqué, prends exemple sur Jamel.

Aujourd’hui j’arrive à me le dire, enfin. Et à chaque fois (oui, chaque fois !) ça me met les larmes aux yeux.

En fait, tu enlèves la tension/la pression que tu te mettais pour changer les choses que tu trouvais laides/pas aimables. Tu leur apportes de l’amour, de l’attention et tu regardes ce côté de toi-même d’un œil amusé et profondément bienveillant.

Et un jour il y a de grandes chances pour que cela ait disparu… ou pas.

Mais ce n’est pas grave puisque tu as accepté que ce soit là « … »

Je te vois venir (t’es un peu prévisible^^). « On ne peut tout de même pas accepter de vivre avec ses défauts sans vouloir les changer ?! » (avec l’air offensé de rigueur) Eh bien si !

Voilà pourquoi…

 Un duel qui n’a pas lieu d’être

Améliorer, c’est encore une notion de « bas » (là où on est) par rapport à un haut (là où on voudrait être).

Ce qui revient encore à savoir où est-ce qu’on se situe sur l’échelle du bien et du mal…

Je préfère de loin le terme « se libérer », qui sous-entend un mouvement de l’intérieur (de soi) vers l’extérieur, sans idée de jugement bien/mal.

Si on considère que l’on est un humain médiocre/faible, c’est non seulement une vision très limitée de nous-mêmes, mais en plus c’est notre égo qui parle. Oui, tu sais, celui qui nous fait nous prendre pour des déesses ou nous noie au fond du puits à la moindre occasion (il a une légère tendance bipolaire).

**Attention, l’égo a son utilité ! C’est ce qui permet, par exemple, que tu te sentes différente du moustique qui vient te piquer ou de la tapisserie en face de toi**

Au niveau de la conscience, ou du cœur, la dualité bien/mal n’existe plus. La conscience/amour est bien plus large et englobe les deux en les considérant comme les deux faces d’une même pièce.

Chaque chose existe parce que son contraire existe également : on voit la lumière parce que l’ombre existe.

Bref, une pièce a toujours 2 faces.

Si tu n’aimes qu’un côté de la pièce (l’image que tu as plaisir à montrer), tu aimes seulement l’image que tu te fais de toi, mais tu ne t’aimes pas réellement.

Or, si je suis une bonne personne, C’EST PARCE QUE je suis une connasse manipulatrice aussi (ouh là, je sens que je viens de te faire réagir… c’est parfait ! Continue à lire…)

Si je suis généreuse, C’EST PARCE QUE j’ai aussi un côté égoïste (et que je sais les dégâts que ça provoque quand je le laisse trop s’exprimer, ou qu’il s’exprime trop chez les autres).
Ce que l’on appelle un défaut est simplement une partie plus sombre de nous-mêmes, une partie plus « contractée » qui se transformera en quelque chose de plus lumineux si on y apporte suffisamment d’amour et d’attention.

Par exemple, je sais que, personnellement, j’ai un côté un peu égoïste et gourmand (merci papa).

Eh bien, au lieu de piquer dans la part des autres quand ils ont le dos tourné (merci papa !), j’ai maintenant pris l’habitude d’en faire plus pour tout le monde, comme ça j’ai la quantité que j’ai envie et ça en fait aussi plus pour les autres (et s’ils n’ont pas envie de tout manger, je me sacrifie pour le faire, belle âme que je suis !).

Par conséquent, si tu veux rayonner davantage, ça ne sert à rien de te concentrer à faire briller ce qui est déjà beau et lumineux chez toi. Nourris-le, bien-sûr. Cultive-le.

Et en même temps, apporte amour et attention à ces parties plus contractées de toi-même pour qu’elles se détendent et laissent passer enfin la lumière qu’elles contiennent.

(oui, parce que dans l’Univers, c’est connu que ce qui est dense/contracté comme matière ne laisse pas passer la lumière – pense aux trous noirs)

 Soyons franches : si tu étais parfaite, tu ne m’intéresserais pas

D’où vient cette maudite croyance qu’il faut être parfaite pour que les autres nous aiment ? Qu’on doit enlever tous nos « défauts » ?

Ces imperfections sont ce qui donne non seulement du relief, mais aussi de l’humanité à qui nous sommes.

Si je me sens proche de toi, c’est parce que je vais être capable de percevoir des points communs (ah bon, toi aussi tu as habité à Trifouillis-les-oies ? = début d’une possible passionnante discussion… ou pas).

En bref, on aime un être humain justement pour ses faiblesses.

Ce sont elles qui nous rapprochent de lui, nous connectent (t’es tu sentie plus proche de moi avec les quelques exemples que je partage ici ?)

Le reste est simplement un « plus » agréable qui est plaisant quand on est à proximité de la personne (bon, faut pas pousser mémé dans les orties non plus).

Rien n’est plus beau et émouvant que de voir un humain qui transcende une « faiblesse » pour la transformer en force/lumière !

Moi, à chaque fois que j’ai le privilège de voir cela avec les gens que j’accompagne professionnellement, je suis émue jusqu’aux larmes.

Quand culpabilité et honte sont nos compagnes indésirables…

Avant, personnellement, je me sentais coupable et honteuse à chaque fois que je faisais une erreur.

Je me disais que normalement, j’aurais dû ne pas en faire si… j’avais porté plus d’attention/j’avais été meilleure/j’étais pas aussi bête/…

J’avais à chaque fois l’impression que j’avais commis l’irréparable (à divers degrés), que je nuisais à l’autre… ou que j’étais indigne de ce qu’on m’avait demandé parce que si j’étais « assez », je n’aurais pas fait cette stupide erreur.

Le pire de tout c’est que mon indignité (selon mon point de vue erroné de l’époque), par cette erreur, venait de sauter à la face du monde (alors qu’en fait, la plupart du temps personne n’a rien vu, concentré sur lui-même). Ça venait pointer haut et fort ce que je pensais de moi tout bas, accentuant encore mon sentiment de culpabilité et de honte.

Aujourd’hui où je me sens « assez », je ne me sens plus coupable quand j’ai fait quelque chose qui ne correspond pas aux attentes, parce qu’à chaque fois je fais de mon mieux (encore faut-il le vouloir !)

Et si mon « mieux » n’a pas été suffisant pour cette fois-ci, je vais apprendre de mon erreur et je ferais mieux la prochaine fois. C’est fou comme je me sens vraiment plus légère !

 Si je « travaille fort », je vais être récompensée…

Je vais y aller cash (rassure-toi, c’est un coup de pieds aux fesses plein d’amouuuuuur) : cette mentalité que l’on a entretenue chez nous est une mentalité d’esclave, d’élève disciplinée… mais en aucun cas celle d’une femme libre !

Alors quoi, on est juste un petit toutou bien dressé qui attend qu’on lui donne son susucre ?

Une gamine à qui la maîtresse/l’Univers/Dieu/la Vie va donner un bon point si j’ai bien agi ?

(le coup de pied fait mal aux fesses ? 😉 c’est bon signe^^)

Nous avons été élevées là-dedans, mais tu peux choisir de t’affranchir de ce système.

D’abord, « la Vie » n’est ni « avec » ni « contre » nous (par contre elle est joueuse… imprévisible )

Donc je ne vois pas pourquoi elle nous récompenserait d’avoir « bien » agi.

La vie, c’est juste une histoire d’apprentissage pour passer à la suite du jeu (un peu comme un jeu de plates-formes).

Donc ce qui nous arrive est en résonance avec nos choix : fuir (par peur/confort) ou faire face et accepter ce qui est (par amour pour soi-même).

On n’a pas à travailler pour devenir « la meilleure version de nous-même », mais plutôt avoir le courage de se regarder en face avec honnêteté et d’accepter ce qui est sans chercher à se mentir (j’ai jamais dit que c’était facile !).

Avec persévérance et amour pour soi, jour après jour.

Le seul « travail » que l’on a alors à faire c’est de relâcher le plus possible les attentes sur ce qu’on voudrait être, relâcher la forme (ce qu’on paraît être), relâcher le contrôle (je sais de quoi je parle !)… et laisser les autres nous voir dans notre splendeur et notre petitesse.

 L’essentiel de ce que je voulais te dire :

A « devenir la meilleure version de moi-même », je préfère de loin l’expression « me rapprocher de qui je suis vraiment ».

Me rapprocher… donc être plus près.

Me concentrer vers l’intérieur.

Pas juste la surface.

Habiter l’intérieur de qui je suis…

tous mes recoins, même les plus sombres…

Les accepter et les aimer.

(C’est simple, mais ça ne veut pas dire que c’est facile !)

Faire le deuil de la personne parfaite que je voudrais être (limitée par ce que je connais du monde et des gens) pour laisser fleurir la personne magnifique que JE SUIS DÉJÀ.

Je ne suis QUE ça… mais je suis TOUT ça !

C’est cette cohabitation de l’ombre et la lumière qui fait ma beauté en tant qu’être humain, ma grandeur. Un peu comme un tableau de Rembrandt.  

La clé du bonheur est là : ACCEPTER CE QUI EST sans vouloir le changer

C’est à dire relâcher/libérer les attentes envers soi, envers les autres aussi.

Ce qui veut dire enlever des couches…

Me libérer des choses qui ne m’appartiennent pas (exigences, normes, croyances, conditionnements).

Un peu comme les couches d’un oignon…

ou les vêtements d’une strip-teaseuse… 

Tout ça pour laisser les autres me voir dans toute ma beauté brute, dans mon plus simple appareil.

Bon, qu’est-ce qu’on attend ?

Allez, toutes à poil !

(Calme-toé, c’est juste une image…)

Même pas peur ? 

 

Blandine

Nudiste et stripteaseuse… de l’âme ?

PS : Tu n’imagines pas (ou peut-être que si ?) comme écrire ce texte m’a libéré !

Si cette lecture t’a libéré(e) toi aussi, stp partage-le 

NB : si tu veux en discuter avec moi et/ ou qu’on fasse un bout de chemin ensemble pour que je t’accompagne dans cette voie, écris-moi à blandine@legendedesfemmesinspirantes.com
Réf : (0) : lire les paragraphes entre le [14] et le [15] vers le milieu de la page

(1) Franck Lopvet